« MAÂT SAUVE L’HUMANITE : LES VIBRATIONS DE LA MUSIQUE COSMIQUE ET LES IMPREGNATIONS DE LA CHOREGRAPHIE SACREE ».
17102018J’ai l’honneur d’inviter les KAMITES et les sympathisants de la CAUSE KAMITE au SÉMINAIRE D’HISTOIRE ANCIENNE DE LA MUSIQUE que j’animerai – documents originaux à l’appui -le Samedi 20 Octobre 2018 de 13H00 à 18H00 à Paris (Adresse : 55 Rue du Château d’eau, 75009 Paris. Métro : Château d’eau, PAF : 12 euros) sur le thème suivant : « MAÂT SAUVE L’HUMANITÉ : LES VIBRATIONS DE LA MUSIQUE COSMIQUE ET LES IMPRÉGNATIONS DE LA CHORÉGRAPHIE SACRÉE ».
En effet , la Déesse HATHOR munie de son sistre est une parèdre de MAÂT qui fait écho aux VIBRATIONS DU COSMOS QUI RÉJOUISSENT LE CŒUR DU CRÉATEUR AMON RA.
Ces VIBRATIONS COSMIQUES sont également relayées par le Dieu BES qui transmet l’INSPIRATION DIVINE aux Harpistes souvent aveugles qui recueillent à leur tour les PAROLES DU CRÉATEUR auprès des INSTRUMENTS DE MUSIQUE comme les cordophones , les harpes , les cithares et autres tambours dont les INITIES SUPÉRIEURS ne manquent pas de décoder le LANGAGE SECRET (cf les travaux du regretté NIANGORAN BOUAH précurseur de la « DRUMOLOGIE » censée décrypter le LANGAGE TAMBOURINE ).
Ainsi , le premier MUSICOLOGUE de l’histoire de l’humanité à savoir le Nègre égyptien KHOUFOU ANKH soulignait l’interaction dialectique entre la MUSIQUE COSMIQUE et la CHORÉGRAPHIE SACRÉE censée restituer grâce à la GESTUELLE DU CORPS EN MOUVEMENT le BALLET COSMIQUE des CRÉATURES EN HARMONIE AU SEIN DE LA CRÉATION.
Il en résulte que pour nos Ancêtres de la Vallée du Nil depuis la Région des Grands Lacs jusqu’aux rives de la Méditerranée la MUSIQUE était un ART SACRE dans les SANCTUAIRES où l’hymnode hypnotisé ensorcelait et réjouissait le CRÉATEUR en s’accompagnant de la harpe jouée par tout un orchestre sacerdotal réuni par Pharaon lors des GRANDES PANEGYRIES.
Le « VIZIR » MERA n’était pas en reste qui s’adonnait, muni de sa KORA , à la MUSIQUE DE CHAMBRE en l’honneur de sa tendre épouse. Quant à DJEDKHONSOUIOUFANKH, il jouait sa partition aux pieds du TRÔNE DIVIN de RE HORAKHTY muni de son cordophone.
Dans les saintes processions, les sons des tambours (qamqam puis tamatama en Egyptien pharaonique) rythmaient les pas cadencés des danseurs endiablés qui ne faisaient eux-mêmes qu’imiter les « DANSEURS DU DIEU » ou PYGMEES AKA.
Ce n’est donc pas en vain que le grand spécialiste de la MUSIQUE PHARAONIQUE Hans HICKMANN a crû devoir confesser son intime conviction : c’est en Afrique noire dès la plus haute préhistoire que la MUSIQUE et la CHOREGRAPHIE ont simultanément émergé comme l’attestent par exemple les relevés des PEINTURES RUPESTRES de la GROTTE D’APPOLO 11 en Namibie.
Professeur Jean-Charles Coovi GOMEZ.
Catégories : Institut d'Etudes Panafricaines, Manifestations Culturelles, Réhabilitation de la Femme Kemite, Université Kemite du Futur
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